dimanche 22 novembre 2015

PRINTEMPS PHOTOGRAPHIQUE MAROC 2015


Un événement proposé par NegPos avec la complicité de l'Association d'Art Photographique du Maroc, d’ATTAC, du cinéma Le Sémaphore, de l’association Mille Couleurs et de l’Université de Nîmes à Nîmes du 24 novembre 2015 au 28 février 2016
contact@negpos.fr - http://negpos.fr/negposphoto/category/expositions/
Invitée d’honneur : Souad GUENNOUN
Autres invité(e)s : Thami BENKIRANE, Laila HIDA, Ghita SKALI, Fatima MAZMOUZ et Mohamed MALI
+ le projet CASABLANCA Passé>Futur (extraits) avec Jaâfar AKIL, Claude CORBIER, Fabienne FOREL,
Patrice LOUBON et Fatima MAZMOUZ
Printemps photographique MAROC 2015

NegPos entretient depuis 2007 une relation soutenue avec les photographes marocains et l’Association Marocaine d’Art Photographique (AMAP). Hors des sentiers battus et des images stéréotypées, notre action pour participer à révéler la richesse actuelle de la photographie marocaine est passée par différentes étapes. D’échange en échange de projets communs en itinérances improbables (Maroc…Chili…France), de nouvelles circulations apparaissent. L’un de nos objectifs, avec cette nouvelle programmation, est de mettre en lumière le travail des femmes photographes du Maroc. Si les hommes occupent toujours une grande place dans la photographie de ce pays, il était hors de question pour cette nouvelle occasion que nous nous sommes donnés, de leur laisser le haut du panier ! La photographie marocaine ne fait pas exception à la règle internationale, les femmes sont de plus en nombreuses à occuper ce champ de vision bidimensionnel.
Agenda

Table ronde avec Souad GUENNOUN et Ghita SKALI
modération: Patrice LOUBON
"Des photographies : Art et engagement""
à l'Instant T, 2 Rue Racine, Nîmes
le mardi 24 novembre 2015 à 18h

Expositions de Souad GUENNOUN et Ghita SKALI
à la BU de l’université de Nîmes Site Vauban, du mardi 24 novembre 2015 au 31 janvier 2016

Exposition et lecture avec Thami BENKIRANE
du 25 novembre au 31 janvier 2016


au FABLAB NEGPOS 34, promenade Newton, Nîmes vernissage le mercredi 25 novembre 2015 à 16h30
Conférence Souad GUENNOUN, « Du microcrédit à la dette grecque » en partenariat avec ATTAC
à l’Auditorium du Conseil Départemental, rue Guillemette, Nîmes, le mercredi 25 novembre 2015 à 18h30

Exposition Souad GUENNOUN
du 26 novembre au 22 décembre 2015,
au cinéma Le Sémaphore, rue Porte de France,
vernissage le jeudi 26 novembre 2015 à 19h30

Projection film « Misères à crédit » (47mn) de Michel CROZAS
en partenariat avec ATTAC et l’Université de Nîmes, débat à l’issue du film avec Souad GUENNOUN,
au cinéma Le Sémaphore, rue Porte de France à 20h30, projection unique le jeudi 26 novembre à 20h30

Expositions avec Laila HIDA et Mohamed MALI
du 27 novembre au 31 janvier 2016
au FOTOLOFT NEGPOS 1, cours Némausus, Nîmes, vernissage le vendredi 27 novembre 2015 à 18h30

Projection film, rencontre et échange avec Souad GUENNOUN
à l’association Mille couleurs, 21 Place Léonard de Vinci, Nîmes le vendredi 27 novembre à partir de 9h00

Exposition CASABLANCA Passé>Futur
du 3 décembre au 31 décembre 2015
à la Maison de la Région, 3, place des Arènes, Nîmes, vernissage le jeudi 3 décembre 2015 à 18h30

Exposition Fatima MAZMOUZ du 21 janvier au 28 février 2016
à l’IUFM, 62, rue Vincent Faita, Nîmes, vernissage le jeudi 21 janvier 2016 à 18h30 (sous réserve)

La photographie de l'affiche  est extraite de la série "Codes-barres de la pesanteur".

mardi 15 septembre 2015

PHOTOGRAPHIE & ESPACE

Appel à communication
l' Association de Recherche sur l'Image Photographique (ARIP) organise une journée d'études sur la question de la "Photographie et l'espace" le 4 décembre 2015. Elle sera accueillie par le musée Rodin et placée sous la direction scientifique de Marie Auger (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), Hélène Pinet (musée Rodin) et Michel Poivert (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Retrouvez l'appel et l'argumentaire en suivant le lien:

http://arip.hypotheses.org/1034

samedi 27 juin 2015

Révélation écriture Maghreb

Appel à candidatures : "Révélation Écriture Maghreb" - Concours de littérature / étudiants

Le concours « Révélation Écriture Maghreb » est promu par le Bureau Maghreb de l’Agence universitaire de la Francophonie. Il a comme objectifs d’encourager la production d’œuvres littéraires en tant que moyen privilégié d’expression de faits, d’idées et d’émotions, en langue française, et de stimuler auprès des étudiants le goût de la lecture et le contact avec l’univers de la littérature.

Pour plus d'informations, suivez ce lien :http://www.auf.org/bureau-maghreb/appels-offre-regionales/appel-candidatures-revelation-ecriture-maghreb-con/

jeudi 14 mai 2015

Colloque “Où en sont les théories de la photographie?”


Le 27 mai 2015 au centre Pompidou à Paris, sera organisé un colloque autour de la question :   “Où en sont les théories de la photographie?”
Cliquez sur l'image pour la voir en grand

Argumentaire: Durant la majeure partie du XXe siècle, la pratique photographique s’est accompagnée d’un important travail d’élaboration théorique, qui a contribué à structurer le champ. L’arrivée des technologies numériques a accéléré l’essor des usages de l’enregistrement visuel. Qu’en est-il de la préoccupation théorique dans ce nouveau paysage?
Ce colloque sera l’occasion de faire le point à la fois sur l’histoire du questionnement théorique de la photographie et sur ses nouvelles interrogations. Les caractéristiques de l’enregistrement définissent-elles les contours des pratiques? Une approche générale de la photographie est-elle encore légitime? Les formes de l’authenticité sont-elles liées à une technologie? L’approche ontologique a-t-elle rencontré ses limites? La pensée du document est-elle une préoccupation historique? La photographie est-elle entrée dans une nouvelle ère? Quels sont les nouveaux contours de l’image fixe et de l’image animée? Quel rôle a joué l’interrogation théorique dans la perception des pratiques photographiques? En tentant de répondre à ces questions, ce colloque donnera l’occasion de vérifier l’état de la relation qui unit photographie et théorie.
Sur une proposition de Clément Chéroux, André Gunthert, Michel Poivert, Paul-Louis Roubert, Karolina Ziebinska-Lewandowska. Un partenariat entre le Centre Pompidou, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (Hisca), l’EHESS et la revue Etudes Photographiques

  • 11:00. Clément Chéroux, Introduction
  • 11:30. Joel Snyder (université de Chicago), “Photographie, ontologie et sens commun”
Certaines des positions théoriques les plus courantes sur la photographie reviennent à conforter les croyances du sens commun quant au caractère de celle-ci. Inévitablement, les significations de quelques termes importants de cet ensemble d’hypothèses ont changé avec le temps, comme le sens commun lui-même a changé. Les hypothèses sur la photographie propres à un moment donné du passé nous frappent maintenant comme étranges, énigmatiques ou même, pire que tout, simplement démodées. Cette communication portera sur les spéculations ontologiques du XXe siècle concernant la photographie, tout particulièrement dans les travaux de Siegfried Kracauer, Rudolf Arnheim, Erwin Panofsky, André Bazin, et Stanley Cavell.
  • 12:00. Philippe Dubois (université Paris 3), “De l’image-trace à l’image-fiction”
Partant des théories ontologiques des années 1980 sur l’image-empreinte (l’index, le ça-a-été), on retracera les mouvements de pensée qui ont amené les théories de la photographie, par-delà les mutations technologiques, vers une pensée plus pragmatique, liée aux usages de l’image et surtout informée par les «théories de mondes possibles» appliquées au champ du visuel. La photo moins comme image-trace-de-ce-qui-a-été-là que comme image-fiction-d’un-monde-possible, «a-référentiel» et «plausible». On étudiera les implications de cette pensée sur la question du document et de l’archive, sur celle du stock et des flux, sur celle de l’unité spatio-temporelle de l’image et sur celle de la «(non)fixité» de l’image.
  • 12:30. Jacqueline Guittard (université de Picardie), “Roland Barthes, la photographie à revers”
À considérer l’œuvre de Roland Barthes telle qu’elle fut publiée de son vivant, on peut être surpris par les innombrables photographies qu’elle prend en écharpe, soit qu’elle les montre, soit qu’elle les décrive. La richesse de ce corpus iconographique permet, d’une part, de réévaluer le poids théorique de La Chambre claire et il révèle d’autre part que l’usage barthésien de la photographie n’est pas si éloigné qu’il semble de la consommation des images contemporaines, fussent-elles numériques. La réception de la photographie par Roland Barthes circonscrit en effet un réel dont la qualité est déjà virtuelle.
  • 14:30. Michel Poivert (université Paris 1), “La photographie est-elle une image?”
Depuis les années 1990, “l’image” s’est installée dans les esprits comme une notion générique reliant art contemporain, critique sociale et esthétique. Il est temps de s’interroger sur cette fausse évidence de l’image lorsqu’il s’agit de photographie: la photographie est-elle une image? Et si c’est le cas, ne doit-on pas se demander quel rôle la photographie a joué dans la définition même de ce qu’est une image? Figure majeure de la naturalisation de la photographie au passage du XXe au XXI siècle, la notion d’image a connu une véritable mutation en un siècle, définie d’abord comme un fait de conscience puis comme un fait social. Au cœur de cette mutation, l’expérience de la photographie a été déterminante. Dès lors, une théorie de la photographie aujourd’hui peut-elle faire l’économie d’une définition de ce que nous appelons « image »?
  • 15:00. Herta Wolf (université de Cologne), “Montrer et/démontrer. Index et/ou indice”
Bien que le caractère indiciel de la photographie analogique, basée sur le principe positif-négatif, et que le procédé d’enregistrement propre à la Photographie relèvent nécessairement d’une science des indices formulée au XIXe siècle, les pratiques et techniques photographiques contemporaines ne rendent en rien obsolète ce concept historique. Les indices, tels que les promeut l’image photographiques, s’opposent toujours à leur récupération théorique. Comment, dès lors, aborder ces nouveaux points de vue sur la photographie? Par exemple par la relecture des travaux de Carlo Ginzburg (“Signes, traces, pistes. Racines d’un paradigme de l’indice” [1980]), notamment sa reprise de l’argumentation relative aux questions de méthode en histoire de l’art (Roberto Longhi), qui rend évidente la dimension historiographique de tout examen à nouveaux frais des théories de la photographie.
  • 15:30. André Gunthert (EHESS), “L’autre image. Une histoire théorique de la photographie”
Depuis son inauguration par László Moholy-Nagy, la préoccupation théorique a toujours décrit la photographie comme une autre image. Permettant une approche globale, la théorie installe la photographie comme une forme spécifique, dotée d’un rapport privilégié à la vérité, profondément différente des œuvres d’art, mais aussi du cinéma. La transition numérique met ce récit face à ses contradictions, et oblige à abandonner la justification par l’ontogenèse. La vision de la photographie renoue un temps avec sa tradition technique. L’approche théorique renaît avec les formes appropriatives et l’autonomisation des pratiques culturelles, sous l’espèce d’une critique de la subjectivité.
  • 16:15. Jean-Marie Schaeffer (EHESS/CNRS), “Quelle théorie pour quelle photographie?”
Les pratiques, supports, modes de circulation et modes de réception  de « la » photographie sont devenus tellement multiples qu’on est en droit de se demander si une théorie unifiée de « la » photographie (qu’elle soit « matérielle », sémiotique ou ontologique) est encore possible ou souhaitable. Peut-on encore parler d’une place spécifique qui serait occupée par « la » photographie dans l’écosystème des images? On s’interrogera notamment sur la place que peut encore ou que ne peut plus occuper le critère de l’indicialité dans la délimitation du statut épistémique des pratiques photographiques.

jeudi 30 avril 2015

BARTHES : VISION

BARTHES / VISION
Comme déjà annoncé, le projet "Barthes /Vision" voit le jour : l’Institut français lance sa grande collecte d'images à l'échelle internationale sur le site www.barthes.vision

- Dans un premier temps, il va permettre aux internautes du monde entier de poster des images, en associant leurs photographies à l'une des quinze citations de Roland Barthes retenues pour le projet.
- Ce dispositif de collecte sera complété dans le courant du mois de mai, par un volet "exposition" qui présentera des sélections des photographies, et permettra aux visiteurs de naviguer parmi les images selon le numéro de citation choisie ou encore le pays de provenance des clichés.
Le site www.roland-barthes.org est partenaire du projet "Barthes/Vision" que coordonne l'Institut français
Nous renvoyons à l'édition de référence des Œuvres complètes de Barthes, éditées par Éric Marty,et publiées en 5 tomes aux éditions du Seuil (2002).
Nous utilisons l'abréviation OC (Œuvres complètes) suivi du numéro du tome avant d'indiquer la page.
Nous donnons le titre d'ouvrage ou d'article en tête de référence.
Nous faisons suivre du signe « = » un pointage plus précis dans l'ouvrage concerné (pour faciliter notamment le repérage pour les traducteurs des postes étrangers).



LES QUINZE CITATIONS A ILLUSTRER PAR DES PHOTOGRAPHIES:
# 1 ce que la Photographie reproduit à l'infini n'a eu lieu qu'une fois (La Chambre claire, OC V, 792 = section 2)
# 2 la photo de l'être disparu vient me toucher comme les rayons différés d'une étoile (La Chambre claire, OC V, 854 = section 34)
# 3 la Photographie, parfois, fait apparaître ce qu’on ne perçoit jamais d’un visage réel (ou réfléchi dans un miroir) (La Chambre claire, OC V, 872 = section 43 )
# 4 dès que je me sens regardé par l'objectif, tout change : je me constitue en train de « poser », […] je me métamorphose à l'avance en image (La Chambre claire, OC V, 796 = section 5)
# 5 l’air est ainsi l’ombre lumineuse qui accompagne le corps ; et si la photo n’arrive pas à montrer cet air, alors le corps va sans ombre (La Chambre claire, OC V, 876 = section 45)
# 6 ce que je cache par mon langage, mon corps le dit. [..] Mon corps est un enfant entêté, mon langage est un adulte très civilisé... (Fragments d'un discours amoureux, OC V, 73-74 = « les lunettes noires », fragment 5)
# 7 la société s'emploie à assagir la Photographie, à tempérer la folie qui menace sans cesse d’exploser au visage de qui la regarde (La Chambre claire, OC V, 883 = section 48)
# 8 colorier le monde, c'est toujours un moyen de le nier (Mythologies, OC I, 798 = « Continent perdu »)
# 9 le mur appelle irrésistiblement la trace des songes profonds, des agressions ou des caresses intimes (« Société, imagination, publicité », OC III, 63 = « Le Mur »)
# 10 ce que le public réclame, c'est l'image de la passion, non la passion elle-même (Mythologies, OC I, 682 = « Le monde où l'on catche »)
# 11 je m'inquiète d'une société qui consomme si avidement l'affiche de la charité qu'elle en oublie de s'interroger sur ses conséquences, ses emplois et ses limites (Mythologies, OC I, 713 = « Iconographie de l'abbé Pierre »)
# 12 la Mode est en effet imitation collective d’une nouveauté régulière (« Le dandysme et la mode », OC II, 30)
# 13 l’image fige une infinité de possibles ; la parole fixe un seul certain (Système de la Mode, OC II, 914 = « IV. 1.10. Immobilisation des niveaux de perception »)
# 14 le langage est une peau (Fragments d'un discours amoureux, OC V, 103 = « L'entretien », fragment 1)
# 15 qu'est-ce donc que notre visage, sinon une citation ? (L'Empire des signes, OC III, 420 = « Le visage écrit »)

mercredi 22 avril 2015

L'IMAGINAIRE MAROC

La faculté des lettres et des sciences humaines Moulay Ismaïl de Meknès organise le 6, 7 et 8 mai 2015 un colloque international consacré à « L’Imaginaire Maroc » des écrivains marocains et euro-marocains.
 Cliquez sur l'image pour la voir en grand

Mercredi 6 mai 2015 
Séance i : Imaginaire poétique/politique
Modérateur : Zohra Lhioui
-Claude Coste (Université Grenoble 3, France) : Fouad Laroui, Une Année chez les Français, Mohamed Nedali, Grâce à Jean de La Fontaine : le Maroc au prisme de l’école française.
-Abdeljalil Elkadim (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Quand la réalité dépasse la fiction. La question du réalisme dans l’œuvre romanesque d’El Mostafa Bouignane.
-Fouad Mehdi (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : La déconstruction du discours du pouvoir dans l’œuvre d’El Mostafa Bouignane : le cas du discours religieux.
-Bernadette Rey Mimoso-Ruiz (Institut Catholique de Toulouse) Le Maroc de MahiBinebine entre réel et conte.

Séance ii : Autour de la fiction/l’autofiction ?
Modérateur : Claude Coste 
-Abdelkrim Chiguer (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Ego-Méta-Photographie. Apatride endogène. 
-Sanae El Ouardirhi (Université Ibn Tofaïl, Kénitra) : Paratopie créatrice et paratopie identitaire chez Fouad Laroui. 
-Mohamed Lehdahda (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Micro-récits visuels et imaginaire Maroc de Youssouf Amine Elalamy. 
-Mohamed Ourasse (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : La société marocaine et ses contrastes ludiques : étude de l’humour dans les romans de FoaudLaroui.

-Abdellah Stitou (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Fouad Laroui, la fiction à l’épreuve de l’ethnologie.


Jeudi 7 mai 2015

SéSéance iii : Maroc imaginaire/romanesque
Modérateur : Abdellah Stitou
-Mokhtar Belarbi (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Le poids des traditions dans l’écriture féminines marocaines d’expression française.
-AbderrahimKamal (Université Sidi Mohammed ben Abdallah, Fès) : Une lecture deTrois jours et le Néantde Youssef Ouahboune.
-Hassan Moustir(Université Mohamed v, Rabat) : L’imaginaire national dans le roman de Nedali.
-Anouar Ouyachchi (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Pour une lecture deleuzienne de quelques romans marocains.
-Khalid Zekri (Université Moulay Ismaïl, Meknès) : Le Maroc romanesque d’aujourd’hui.
 

Séance iv : Autour d’une diaspora ?
Modérateur : Fouad Laroui
-Ridha Boulaâbi (Université Grenoble 3, France) : Le Maroc de la marge vu par Saphia Azzedine.
-Leïla Cherribi(Université d’Amsterdam, Hollande) : Diaspora marocaine et littérature néerlandaise.
-Ralph Heyndels (Université de Miami, Etats-Unis) : Les imaginaires du Maroc et les Marocs imaginaires dans l’œuvre d’Abdellah Taia.
-Juliane Tauchnitz (Université de Leipzig, Allemagne) : Mohamed Lahchiri et la “mise en scène” du sujet écrivant entre l’Espagne et le Maroc.

Vendredi 8 mai 2015
Sé  Séance v : Table ronde
-Table ronde animée par IemeVan der Poel (Université d’Amsterdam, Hollande) autour de l’imaginaire Maroc avec les écrivains : 
Mohamed Amenssour 

El Mostafa Bouignane 
Youssouf Amine Elalamy  
Fouad Laroui 
 Rachida Lemrabet 
 Mohamed Nedali