Filière d’études françaises | |
Semestre III | |
Date de l’épreuve « Lecture de l’image » | Mer. 18 février 2009
de 8H à 10 H |
Date de rattrapage | Sam. 07 mars 2009
de 8 H à 10 H
|
lundi 16 février 2009
Examen écrit fin de semestre
mercredi 28 janvier 2009
Appel à contribution

Dans la cadre de ses activités de l’année 2009, l’Atelier d’Art Contemporain, affilié au Groupe de Recherche en Art et Littérature, ouvre son espace à Thami Benkirane.
Thami Benkirane est un artiste atypique, mouvant, multiple, voire mutant. Son oeuvre, même située dans un art donné (la photographie) n’interpelle pas moins d’autres arts : principalement, les arts plastiques, la peinture, l’écriture (sous tous ses genres : du graffiti aux genres littéraire, philosophique, journalistique, etc.) mais aussi d’autres techniques ou plutôt d’autres technologies (principalement le numérique et le Net). Au-delà du passage de la photo argentique à la photo numérique et ce celle-ci au Net’Art, il y a chez lui une quête dont les formes, les styles, les supports ne cessent de changer, d’évoluer. Quête de sens ou archéologie de nouveaux mondes ?! Chez lui, les nouveaux mondes sont souvent ceux de ce qui « reste », du rebut ! Anciens nouveaux mondes ?!
En ouvrant l’Atelier d’Art Contemporain à Thami Benkirane, nous voudrions connaître les tenants et les aboutissants d’une expérience unique dans le paysage photographique, voire artistique, marocain. Nous voudrions, aussi, en connaître les mises en perspectives immédiates et lointaines (si le lointain existe encore pour une œuvre postmoderne comme la sienne !).
Comme nous l’avons expliqué dans notre présentation de l’AAC, cette manifestation durera trois séances et s’articulera autour de trois ateliers :
1- Mon atelier d’hier
2- Mon atelier, aujourd’hui
3- Mon atelier en devenir
Mon atelier d’hier, organisé principalement autour d’un diaporama, essaiera de tracer le parcours fait par l’artiste depuis ses débuts. Thami Benkirane y présentera les séries les plus importantes relatives aux différentes phases par lesquelles est passée son œuvre.
Le diaporama, ainsi que le débat qui s’en suivra, seront axés sur les albums qui figurent dans les différents blogs tenus par le photographe.
Ces séries, déjà présentées sur support papier, sont mises en ligne par l’artiste sur ses blogs :
http://iconoclasse.blogspot.com
http://bluesdefes.canalblog.com
Mon atelier, aujourd’hui sera entièrement consacré à la série Morrocan Graffitti (qui sera exposée pendant les trois jours de la manifestation). Des lectures faites par des chercheurs en art et un débat avec l’artiste en constitueront la matière première.
Dans Mon atelier en devenir, Thami Benkirane parlera de son expérience du Net ‘Art. Les blogs susmentionnés formeront la substance de cet atelier. Deux problématiques retiendront notre attention :
1- La relation Art/ nouvelles technologies
2- Le rapport Photos/ textes (avec ses différents genres : récit, journal, essai, ...etc.) dans le cadre de cette nouvelle forme de transmission/ présentation qu’est le Blog.
Nous attirons l’attention de nos collègues désireux participer à cette rencontre qu’il est nécessaire de consulter les blogs mentionnés ci-dessus. Les interventions porteront exclusivement sur les travaux de Thami Benkirane.
Les demandes de participation sont à adresser par courriel à l’adresse mail suivante :
samedi 17 janvier 2009
Cheikh Zidor

Cet artiste fassi est lauréat de l’Institut national des Beaux-arts de Tétouan. A son actif plusieurs expositions individuelles et collectives organisées dans différentes villes du royaume ainsi qu'à l'étranger.
La ville de Fès et sa célèbre médina inspirent et imprègnent indiscutablement l'oeuvre de cet artiste. Par certains aspects, son travail évoque à mes yeux l'abstraction lyrique d'un Zao Wou-Ki. Voilà, un artiste qui ira loin!


vendredi 12 décembre 2008
Du plagiat et autres copier-coller

Face à la banalisation abusive du copier-coller dans la rédaction des monographies et des thèses, certaines universités étrangères ont cherché à mettre en place des outils informatiques pour détecter ces plagiats et pour mieux les combattre.
C'est le cas de l'université Lumière Lyon 2 avec son détecteur automatique du plagiat "Compilatio".
En soumettant à ce dernier, un texte, il devient possible de déterminer le pourcentage du plagiat. Pour plus d'information sur cet outil, voir ici
Allant encore plus loin, l'université suisse de Genève, a mené une réflexion sérieuse sur ces problèmes de fraude en créant de façon ad hoc une commission "Ethique et plagiat". Je vous donne à lire l'ensemble de ses propositions en cliquant ici
Par ailleurs, face à la gravité de ces pratiques frauduleuses, les médias n'ont pas manqué d'en parler. Je vous propose ici d'écouter une émission de radio sur les méfaits du copier-coller ou encore de visualiser une vidéo de trois minutes consacrée au thème "Doit-on tricher pour s'en sortir ?"...
Une affaire toute récente vient de mettre le problème du plagiat sur la scène médiatique allemande:
le ministre de la défense allemand, Karl-Theodor zu Guttenberg a été accusé de plagiat. Il a ainsi officiellement perdu son titre de docteur en droit obtenu à l'université de Bayreuth. Pour plus de détails sur cette affaire, cliquez ici
jeudi 6 novembre 2008
L'Homme purpose et le Digital dispose

Le numéro 8 du photo web magazine Purpose est désormais consultable en ligne ici
Nous avons choisi de montrer les photographies d'une enfance plutôt heureuse, loin des guerres, de la misère et des violences quotidiennes, une enfance qui ressemble à la nôtre, à celle de nos enfants. Une enfance à première vue insouciante, lumineuse, mais dont nous redécouvrons à travers les images toute la complexité, le trouble et parfois même le malaise.
Cinq musiques originales ont été composées pour accompagner les photographies d'une quarantaine d'auteurs. Plongez dans cet univers et retombez en enfance !"
jeudi 16 octobre 2008
Panique à bord...


Notre faculté est en fait une ancienne caserne militaire qui a été intelligemment récupérée et aménagée tant bien que mal pour assurer la transmission des savoirs. Depuis que j'y enseigne, j'ai toujours entendu mes collègues se plaindre amèrement de la vétusté de ces lieux.
Personnellement, j'aime bien l'architecture en forme du U qui caractérise notre faculté. J'aime bien les différentes solutions qui ont été apportées à l'aménagement de son jardin central...J'aime un peu moins les extensions en porte-à-faux qui ont été ajoutées pour recevoir les effectifs estudiantins de plus en plus élevés... et qui ne tiennent pas compte de la spécificité architecturale de la faculté. Selon toute vraisemblance, les architectes engagés n'étaient pas vraiment inspirés.
Bref, le campus de notre faculté va être déplacé. Est-ce une bonne chose ?
Je pense personnellement que OUI ! Car, je n'ai jamais rechigné au changement!
Par ailleurs, il paraît, selon la rumeur (art médiatique marocain par excellence!) que l'actuel espace occupé par la fac va être transformé et aménagé en zone touristique dominant les remparts de la médina. C'est également une chance pour le quartier qui se meurt chaque jour davantage, coincé qu'il est -à la manière du triangle des bermudes- entre les casernes, les bidonvilles, et le cimetière en contrebas...
Comme d'habitude, l'annonce d'un changement ou d'une réforme entraîne une levée de boucliers aussi bien du côté enseignants que de celui des étudiants. Ces derniers sont encore aujourd'hui réfractaires à la réforme qui a été mise en place. De leur côté, les collègues voient d'un mauvais oeil le changement qui va affecter leurs petites habitudes! Difficile de déménager les vieux meubles et de secouer la poussière dans nos têtes...
mercredi 8 octobre 2008
Etudes photographiques
